|| . Mikazuki Uta * {FINISH ~}

A B O U T -M Y- P E R S O



NOM :
Uta
PRENOM :
Mikazuki
SURNOM(S) :
Mika, Mii’, Zuki ...
AGE :
18 ans
NATIONALITE :
Japonaise | Coréene
ORIENTATION SEXUELLE:
Bisexuelle
GROUPE :
Just Student | Cool Student *Si possible*
POSTE VACANT :
//


CARACTERE :
Une remarque idiote, un air innocent, un rire cristallin, des yeux éblouis, la mine boudeuse, les lèvres formant une moue de mécontentement ou un sourire béat ; à certains moments et sur certains plans, Mikazuki pourrait facilement être comparée à une petite fille. L’insouciance est la première chose que l’on perçoit en sa personne. Des idées farfelues et lumineuses, des sourires à perte de vue, de la gentillesse à en former une mer, et une positivité presque à toute épreuve ; tout cela fait que, inévitablement, toute personne discutant avec elle tombe sous le charme, et demeure envoûtée par un tel caractère. D’une spontanéité et d’une douceur sans pareilles, elle parvient à éclairer les ténèbres les plus enfouies des êtres qui l’entourent. De par ses manières d’agir et de prendre les choses, un sourire se dessine sur les lèvres de tous ; un véritable arc-en-ciel apaisant les blessures, un soleil illuminant les tâches sombres, une rose embaumant l’air d’une douce fragrance. La jeune femme possède un charisme des plus charmeurs, et comme toute personne, sa petite part de mystère, ce qui lui arrache des airs énigmatiques qui ne font que renforcer une beauté naturellement éblouissante. Cependant, son caractère dérive par moment vers un très mature; effectivement, elle incarne par moment la parfaite jeune fille mûre, épanouie et bien dans sa peau.
Sachant faire face aux épreuves avec le sourire, sans pour autant rester de marbre et sans émotions, Mikazuki est très sensible, mais aussi forte de personnalité. Souvent comparée à un ange innocent, elle sait attirer les regards et se faire aimer et accepter de tous. Elle se distingue toujours des autres, de par une folle énergie et une prodigieuse excitation, elle se prend d’admiration et de fascination pour tout ce qui lui semble unique et profond, contenant d’authentiques émotions. Pour elle, tout ce qui est durement fait et principalement fait avec du cœur, est unique au monde. Cette philosophie accentue donc sa sensibilité vis-à-vis des beautés rares de la vie et ce qui le prouve clairement, c’est qu’elle n’hésite pas à laisser échapper quelques larmes quand à la magnificence d’une chanson, d’un air de musique, d’une toile de peinture, d’un paysage ou d’une sculpture.
Attachante et enveloppante, elle aime avoir des proches avec qui partager des moments uniques, à graver dans sa mémoire et dans son cœur et aime prendre soin de ceux qui lui sont chers. S’amuser fait également partie de son vocabulaire constant ; jouer aux cartes ou aux jeux de société, toujours partante et enjouée pour participer et rire aux éclats et de bon cœur ; mais surtout, sa principale passion reste et restera la musique, tant elle affectionne cela, qu’elle pourrait passer de longues heures avec rien d’autre que de la musique aux oreilles. Sa sensibilité la rappelle, cependant toujours à l’ordre ; sa hantise première est sans nul doute de perdre la mémoire et de ne plus pouvoir libérer un son unique d’un piano. Aussi, le fait de se retrouver seule, sans entourage, abandonnée lui serait totalement insupportable et constitue un enfer et un supplice rien que d’y penser.
Un cœur sensible pour un caractère doux.

DESCRIPTION PHYSIQUE :
Sur une récente photo encadrée et posée sur l’étagère d’un meuble ...

Du haut de ses un mètre soixante dix, Mikazuki arbore un corps vraiment chétif et maigre. La formation de son corps s’est faite, pourtant, de façon très naturelle ; c’est-à-dire, qu’elle est chétive de nature et non pas avec des régimes alimentaires. Ce n’est pas son genre, de faire des choses qu’elle juge superficielles. Malgré sa maigreur apparente, cela lui va très bien, d’autant plus qu’elle est très petite de taille.
Maigre, certes, mais pas sans valeur ! Elle possède des formes agréables tout de même, autant à admirer qu’à effleurer. Ses épaules sont droites et frêles, sur lesquels tombe en cascade de longs cheveux châtains raides et lisses, par moment ondulés finement, jusqu’au milieu du dos ; quelques petites mèches rebelles et une frange viennent encadrer son visage angélique. Celui-ci est agréablement orné de deux perles de couleurs vacillantes entre le marron foncé et celui, plus léger, allant vers le miel ; d’un petit nez fin et de magnifiques lèvres pulpeuse et innocentes, s’étirant par moment en d’éblouissants et chaleureux sourires.
Son teint pâle s’accorde mélodieusement avec la couleur douce de sa longue et soyeuse chevelure. Sa peau, rien qu’au regard, parait d’une extrême douceur.
Une beauté bien fragile et pourtant si angélique, elle fait agréablement penser à une poupée de porcelaine. Même ses gestes, se font étrangement lents et si doux et affectueux, on aurait dit que sa façon d’être traduit exactement ses pensées et arbore fièrement ses qualités.

STYLE VESTIMENTAIRE :
Habituellement, elle s’habille assez normalement, mais change souvent de style vestimentaire. Celui-ci diverge entre le classique, chic et glamour et le rock, léger, agréable pas trop agressif. C’est une jupe courte ou longue, des couleurs pastel claires et belles, un pull ou un chemisier, des sandales ou des ballerines, le tout, accompagné d’un fin collier arborant une petite étoile, une gourmette aux couleurs chatoyantes et des boucle d’oreilles, tout ce qu’il y a de plus simple mais classe. Pour un style plus rock, ce sera un jean noir ou bleu, un pull ou T-shirt, des converses noires, rouges, roses, peut importe ; cela se résume à ses quelques vêtements. Bien entendu, le tout, est fidèlement escorté par ses cheveux toujours, ou presque, lâchés et dans le vent. Pour ce qui est du maquillage, tout est modéré et simple. Elle opte souvent pour des couleurs s’accordant avec sa peau et ses vêtements, donc, cela variera légèrement d’un jour à un autre.

MANIE:
L’on peut citer comme manie, peut-être cette habitude de pencher la tête sur le côté en accompagnant un interrogation, les petits « Neh » qu’elle ajoute toujours à la fin d’une quelconque question. Si ce n’est cela, il n’y a rien d’autre qui puisse la qualifier particulièrement.

LIENS :
Aucuns
AVATAR :
Aoi Miyazaki

A B O U T - M Y S E L F

PRENOM:
Kamélia
PSEUDO:
Kami, Chie, Mika, Myuki, Rei, Sachi’
SEXE:
F
AGE:
Prochainement 15 ans

FREQUENCE DE CONNECTION SUR 7 JOURS:
Pendant les week-end et pendant les jours | 4-5-6/7
NOMBRES DE LIGNES EN RP:
Cela dépend de l’humeur et de l’inspiration. De 10-15 à ... 50 lignes

COMMENT AS TU DECOUVERT LE FOW' ?
Sur un Top-Site <3
LE CODE DU REGLEMENT:
EDIT BY JAE'//...
DERNIER MOT A NOUS DIRE ?
Le forum est magnifique <3

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[ Suite x Histoire ]

HISTOIRE:
Entre les quatre murs immaculés d’une chambre, éclairée d’une lumière blanche aveuglante, qui n’avait aucun autre accès qu’une seule et unique porte, les cris d’une femme ne cessaient d’aller et de revenir, sans cesse et ce, pendant un bon moment. Dans un couloir à proximité de cette chambre, un homme faisait les cent pas, un café froid serré distraitement dans la main, l’autre se rongeait frénétiquement la peau entourant les ongles, il paraissait fort préoccupé par quelque chose, ou quelqu’un.
Au dehors, la ville était polluée par tant de mouvement ; les circulations par moment fluides et par moment totalement bloquées, provoquaient des boucans aux quatre coins de la ville toute entière, les klaxons des véhicules, les cris des conducteurs pressés et énervés qui ne demandent rien d’autre qu’une route dégagée les menant vers leurs domiciles respectifs, les gens vaquaient à leurs occupations qui divergeaient selon les âges. Cette ville avait pour principales bâtisses et constructions des grades ciel aux vitres transparentes ou bien teintées mais en tout cas, toutes étaient brillantes sous les douces caresses que prodiguaient les très fins rayons lunaires. Dans cette ville, les sirènes des voitures de la police résonnaient encore et encore ; l’on pouvait dire sans crainte que le crime était présent dans chaque recoin, dans chaque ruelle, dans chaque regard et dans chaque cœur, et pourtant, le paradoxe est aussi bel et bien présent. Notez bien, le crime est dehors mais si nous revenons vers un établissement, qui n’est autre qu’un hôpital et plus précisément, dans l’aile qu’est la maternité ; un air de douceur et un fin parfum embaume l’air, l’innocence et l’amour emplissent cet endroit là et viennent lécher les murs jusqu’à les engloutir avec malice.

Les cris de la femme cessèrent enfin et se transformèrent en de petits soupirs de soulagements, d’autres cris, plus aigus mais pourtant scintillants, éclatants et pimpants se firent entendre à leur tour ; c’était bien les pleurs d’un petit bébé qui, vraisemblablement, venait de naître. L’homme au cent pas fut prévenu de cet heureux événement et couru presque vers sa femme et son enfant, les serrant dans ses bras délicatement, ne voulant pas causer de mal à l’une ou à l’autre. Il avait à présent, réunies, les deux seules femmes de sa vie dans ses bras. Effectivement, le bébé était de sexe féminin et était magnifique. Ce jour là était le premier jour du mois de Novembre, il faisait beau et un léger vent gaillard faisait frémir les branches des arbres et chatouillait les feuilles tombantes de celles-ci. Ces deux êtres, de par l’amour qu’ils se portent mutuellement donnèrent naissance à un petit diamant aussi brillant qu’un soleil et aussi merveilleux qu’un air que l’on apprécie fredonner au bord de la mer en admirant le ciel parsemé d’étoiles.
La femme qui retint le petit poupon dans son ventre pendant neuf mois, était Coréene. Elle possédait un charme apparent et une joie de vivre lisible dans ses yeux, c’était une personne dotée d’un fin caractère aux traits doux et aux reflets charismatiques. Une jeune femme certes très aimable et d’une gentillesse sans pareil. L’homme qui fut le plus heureux de tous les hommes du globe terrestre était japonais. Lui, était tout aussi charmant mais ce qui faisait de lui un homme attirant, n’était autre que tout le mystère que recèle son visage, son regard énigmatique mais laissant entrevoir une once de bonheur. Un homme avec bien de la présence et de la prestance.

La belle petite fille reçut donc le prénom de « Mikazuki » de la part de son père, qui, en la prenant dans ses bras et admirant le ciel étoilé par la fenêtre, n’a pu s’empêcher de trouver sa fille aussi magnifique qu’in croissant lunaire. Ainsi, elle vécut très heureuse, entourée des plus beaux sourires offerts par ses parents, de la plus immense des gentillesses et du plus pur des amours que l’on puisse recevoir. Cependant, un événement brisa soudainement son univers parfait, fait de belles couleurs et de délicieuses choses, il fit voler en éclats tout son bonheur et fit éclater sa petite bulle rose. Agée alors de six ans, son père –qu’elle voyait comme le plus beau et plus grand papa au monde et qu’elle considérait comme son héro- décéda des suites d’une maladie. Cela était si injuste à ses yeux baignés de larmes, elle n’avait profité de sa présence que pendant six ans, six malheureuses et petites années –bien que les courtes années passées à ses côtés ne furent en aucun cas « malheureuses »-. Le cœur de la petite fille était déchiré en mille et un morceaux dispersés aux quatre coins de l’univers. Il fallait la comprendre, son papa était parti trop tôt et l’avait laissé seule, face aux dangers qui la guettaient depuis sa venue au monde. Seule, face au destin, face aux gens hypocrites et malveillants. Elle était seule face à la vie.
Sa mère décida alors de quitter le Japon et de retourner vers son pays natal, la Corée. C’est dans ce milieu inconnu et hostile que la petite Mikazuki dut apprendre à vivre et dut s’adapter aux coutumes et aux habitudes de ce pays qu’elle connaissait et ce, à l’âge de sept ans soit, une année après le décès de son père. Ce fut dans un quartier où toutes les maisons blanches se ressemblent, en banlieue, qu’elle dut recommencer sa vie ; les premières personnes qu’elle rencontra, habitaient une maison collée à la sienne, des gens qu’elle trouva fort gentils et agréables. Après un long et interminable moment de deuil et de chagrin profond –qu’elle gardait au fond d’elle-, la petite fille reprit le cours de sa vie, sans oublier et sans vraiment accepter l’absence persistante de son père. Cet événement fut une dure épreuve à traverser, si dur, qu’il fut encré au plus profond de son être. Elle n’oubliera jamais. Elle n’oubliera jamais les doux sourires de son héro, ses yeux si brillants et si joyeux, son humeur pétillante de joie, sa personnalité si charismatique, sa gentillesse naturelle et pourtant si unique. Elle n’oubliera jamais cette perte, cette douleur. Son héro la quitta, elle le pleura, mais il était temps de se relever et d’avancer en séchant ses larmes. Il est temps de poser un délicat pansement sur les blessures passées, sachant que ce bout de pansement ne les fera jamais disparaître.
La fillette tira donc un léger trait sur son petit passé. Il faut avouer que malgré les événements, elle gardait un étincelant sourire aux lèvres ; sans aucun doute, elle avait hérité cela de son cher et défunt père. Elle chantait et ne cessait de chanter, elle apaisait les douleurs et les chagrins de sa voix d’ange.

Au collège. Elle était désormais une belle jeune adolescente et côtoyait l’âge ingrat. Etant métisse, on ne l’acceptait pas facilement ou tout simplement, pas du tout ; poussées par la jalousie due à son incroyable beauté, les jeunes filles de son établissement scolaire ne se gênaient apparemment pas pour lui lancer de mesquines moqueries, d’avilissantes et blessantes paroles et de vexantes remarques, elles ne se gardaient pas de lui cracher leur venin. D’autant plus que, même les camarades du sexe opposés en faisaient de même et manifestaient leurs mépris à son égard en la poussant dans les escaliers, en lui faisant renverser son plateau à la cantine, en lui faisant tomber ses livres dans les couloirs et bien d’autres supplices et gamineries du même genre ...
Mais elle subissait et ne disait rien, bien qu’elle en mourrait d’envie, elle gardait tout pour elle. Néanmoins, elle se réfugiait dans sa passion de toujours, pour laquelle elle gardait toujours une place dans son cœur : le piano. Cela représentait un objectif pour elle, une sorte d’idée fixe ; elle comptait vivre de son don et devenir une célèbre artiste qui ferait rêver les petites filles, danser les jeunes filles et fondre les cœurs des jeunes femmes ; du moins, c’était là son nouvel objectif dans la vie, qu’elle s’était fixé. Il fallait avouer que la nature l’avait doté d’une magnifique voix en plus d’un talent au piano, au timbre très doux mais possédant une force qui reflétait son caractère intérieur. A cette époque, elle était encore si naïve et si innocente. A vrai dire, même pendant toutes ces années à patauger avec la cruauté et l’ingratitude humaine, elle n’avait pas perdu ne serait-ce qu’une once de son air angélique et de son innocence naturelle, elle était toujours pure et agissait avec son cœur.

C’est au lycée que son cercle d’amis s’élargit enfin et prit de l’ampleur, les jeunes gens étaient bien plus mûrs à cet âge là et savait accepter les autres malgré les différences, ayant tout simplement un esprit plus large et un regard plus ouvert sur le vaste monde. Elle reprit donc de son optimisme naturel et de sa joie de vivre pour enjouer tout son entourage.
Elle ne changeait pas. Mikazuki était Mikazuki, mignonne, intelligente, amusante, optimiste et toujours joyeuse. Comment ne pas aimer une telle fille ? Et pourtant, on ne la considérait même pas. Elle ne savait pas pourquoi, néanmoins, il y avait quelques rares personnes qui devinrent ses ami(e)s malgré tout. Des années faites de hauts et de bas, un chemin semé d’embûches, des pentes abruptes et des virages vertigineux. Mais, le temps passe vite.
Le lycée est maintenant passé, devant la jeune fille s’élève l’imposante université de Séoul. Elle n’hésitera pas y plonger, le cœur débordant de joie, de courage et de bonne humeur, la tête fraîche et embaumée du parfum des études et de la musique qu’elle affectionne tant.

...