A B O U T -M Y- P E R S O
NOM:
Akimoto
PRENOM:
Reita
SURNOM(S):
Rei.
AGE:
20.
NATIONALITE:
Japonaise
ORIENTATION
SEXUELLE:
Bi.
GROUPE:
Playboys.
POSTE VACANT :
Oui.
CARACTERE:
A ce qu’on raconte, Reita serait gore. C’est ce qu’on dit, et il ne leur donne pas tout à fait tort. Après tout, il l’admet parfaitement lui-même : il adore la baston, la violence, et le sang. Surtout quand il s’agit de participer, en fait. Il n’a jamais spécialement pratiqué d’art martiaux mais expérience oblige : il sait se battre un minimum. Cela n’en signifie pas pour autant qu’il ne sait pas faire preuve de sensibilité, mais il faut bien le dire : Reita est
un peu brutal.
Enfin, comme dit précédemment, le Japonais sait tout de même faire preuve d’une grande délicatesse, de sensibilité, surtout lorsqu’il s’agit de ceux qu’il aime. Il paraît –c’est ce qu’on dit- qu’on appelle ça le romantisme. Mais ça, il ne le crie pas sur les toits. Il est effectivement assez discret, malgré ce qu’on pourrait en croire –quoique. Difficile d’être discret avec son accoutrement assez surprenant, mais il essaie.
Enfin, il essaie… c’est un bien grand mot. Il dit tout de même haut et fort ce qu’il pense, surtout des Funny, au risque de s’attirer des ennemis… de foutre la merde, comme qui dirait. Mais il n’en est pas pour autant une grande gueule –enfin, il espère, sinon comment voulez-vous draguer, hein ?
En effet, Reita est un grand dragueur –il n’est pas chez les playboys pour rien. C’est un mélange entre brutalité et romantisme qui peut surprendre, mais si vous vous y laissez prendre, vous verrez comme on peut y trouver des avantages. Non seulement il aime bavasser avec la charmante compagnie, mais il apprécie également les jeux divers… Notamment celui du scrabble
(n’est-ce pas, Yoochun ?). Tout cela mis à part, Reita aime la musique en tout genre, enfin… notamment le Visual Kei. Monsieur joue d’ailleurs de la basse, qu’il trimballe souvent –comment dire sans vous faire peur, excessivement souvent- sur son dos, où qu’il aille. Mais ne vous inquiétez pas, ça ne l’empêche absolument pas d’avoir une charmante créature à son bras.
Pour finir, il est possible d’ajouter que les préjugés sur son style de fringues, Reita en a absolument rien-à-battre. Il s’habille comme il veut, ça ne concerne que lui, alors, les autres, s’ils n’apprécient pas, c’est tant pis pour eux. Les gens qui l’intéressent sont d’ailleurs ceux qui savent passer au-delà des idées reçues, au delà du physique.
Bien que le physique, il ne soit absolument pas contre –ahem.
DESCRIPTION PHYSIQUE:
Akimoto Reita est japonais. Comme la plupart des habitants de cette contrée du soleil levant, il n’est pas bien grand, a les yeux sombres et les cheveux blonds. Certes, ce n’est pas sa couleur capillaire naturelle, mais il arrive bien souvent que certains se teignent les cheveux, et c’est également son cas. Cette coloration ne contraste guère avec sa peau pâle, mais ce n’est pas pour autant qu’il passe inaperçu, bien au contraire. Monsieur a déjà ses fringues sombres pour marquer une nette distinction entre ce qu’il est et ce qu’il porte. Ce qu’il représente et ce qu’il semble être.
A part ça, il est aisé de remarquer qu’il porte sur le visage un bandeau masquant une partie de son visage. Son nez, notamment, qui selon certains constitue un grand mystère. Pas autant que ça, il fallait juste le connaître avant qu’il n’entre au lycée.
Enfin, s’il passait devant sa glace ce matin, Reita verrait à nouveau la cicatrice qui scinde légèrement son flanc droit.
STYLE
VESTIMENTAIRE:
Visual Kei. Ce serait tellement plus simple s’il pouvait se contenter de ça… Mais malheureusement, Reita n’a rien d’un être simpliste qui se contente de suivre une mode. Il aime toutes sortes de vêtements, même s’il a une tendance très portée aux couleurs sombres et aux accessoires un peu… Trash. Cela dit, le confort avant tout. Ce n’est absolument pas le genre à porter des pompes qui lui offrent, en échange de sa générosité, des ampoules. Il hait d’ailleurs tout ce qui est en laine –ces choses affreusent qui sont censée tenir chaud alors qu’elles grattent affreusement.
Excepté cela, il adore tout ce qui de couleur argent, notamment au niveau des bijoux. D’ailleurs, il adore ça. Bagues, colliers, chaînes, piercings… Il s’en donne à cœur joie, et son porte-monnaie en pleure pas mal. Cela dit, il sait tout de même se modérer.
MANIE:
Reita se mord la chair du pouce lorsqu’il est nerveux.
HISTOIRE:
C’est une histoire qui aurait sans doute pu être banale. C’est une histoire qui peut également être maniée dans tous les sens, que l’on peut recommencer et retourner, en changeant quelques éléments de l’histoire. Pourtant, l’histoire de Reita Akimoto reste insensiblement et toujours la même. Une histoire qui ne change pas, puisqu’on ne peut pas remonter le cours du temps. Une histoire qui, gravée en sa mémoire et à même sa chair, est impossible à effacer.
L’histoire –celle que l’on conte ici même – ne commence par réellement le 27 mai 1988. Mais étant le seul point d’ancrage de Reita, ou presque, c’est d’ici que débute le récit. Le jour de sa naissance, le jour où après neuf mois de grossesse, il vint au monde. D’une femme charmante et attentionnée, mariée à un bon employé. Arrivant tous deux de la lointaine campagne, jeune couple débarquant pour s’installer à la capitale.
Ces faits –ces faits-là qui semblent tout à fait insignifiants- seront capitaux pour leurs fils. Fils qui sera unique, simple et jeune fils agréable, parfois sans doute un peu trop agité, mais sans aucun problème. Passe la maternelle, où eurent parfois lieu quelques querelles sans importance, puis la primaire, où il rencontra ses premiers amis.
Et enfin le collège. Collège, un pas en avant dans une mentalité d’un tout nouveau genre, que certains appellent la pré-adolescence. A cheval entre l’enfance et la maturité, l’homme stupide. L’être juvénile. Et surtout, l’être cruel.
Reita fut un garçon tout à fait banal, qui travaillait ce qu’il fallait pour n’être ni parmi les cancres, ni parmi ceux qu’on qualifiait d’intellos. Il avait pourtant déjà ce charme qui aujourd’hui encore en font retourner plus d’une sur son passage, charme quelque peu discret mais qui avait ses avantages. Ainsi, il eut à treize ans sa première petite amie.
Jeune fille gracieuse, jolie et d’un caractère plutôt calme, Yamino Shizuka avait tout pour plaire. Elle avait peu d’amis mais ne s’en plaignait pas, travaillait bien, avait des centres d’intérêts semblables aux siens et était patiente. Elle supportait également son côté tirant déjà parfois sur le glauque.
Reita s’attacha rapidement à elle.
Ici, l’histoire qui aurait pu rester dans la pénombre, qui aurait pu vivre au creux d’un silence, l’histoire préalablement tourmentée se calmant peu à peu prenait brusquement un autre tournant –un immense tournant.
Shizuka n’avait rien de l’ange qu’il croyait connaître. Shizuka n’avait rien d’un être calme et sensible. Shizuka n’avait en rien cette beauté intérieure que parfois certains possédaient, non. En réalité grouillait en elle une laideur monstrueuse. Reita ne le vit que trop tard. Il ne le réalisa que la première fois qu’elle lui révéla ce qu’elle savait.
Quelques jours après une promotion de son père. Quelques jours après un week-end famillial bien mérité. Quelques jours seulement. Ils s’étaient retrouvés pour aller au cinéma voir un film insipide qu’il oublia bien vite. Ils s’étaient embrassés. Ils se connaissaient depuis bientôt plus d’un an. Ils s’aimaient –c’est ce qu’il croyait. En sortant, ils s’étaient installés dans un coin isolé, dans un parc où ils venaient souvent tous les deux.
Et elle lui avait parlé de ses parents. Akimoto Hiroshi et Akimoto Reika… au nom de jeune fille Akimoto. Non, ça n’avait rien d’une coïncidence…
C’est alors que l’on s’aperçoit, un peu tard, que l’histoire, cette histoire-là, était depuis longtemps vouée à l’échec. Puisque depuis longtemps enserrée dans les mailles d’un filet invisible.
Reika était la sœur de Hiroshi. Hiroshi était le frère de Reika.
Shizuka le savait. Le savait depuis bien longtemps.
Shizuka avait attendu une année entière une occasion à saisir.
Shizuka demandait de l’argent.
En contrepartie, elle garderait le silence. Elle ne divulguerait en aucun cas la relation incestueuse de ses parents au reste du monde. Ainsi ils pourraient tous trois vivre en paix. Ainsi, le père garderait sa promotion et le fils n’aurait pas à subir de brimades. Ainsi, elle pourrait satisfaire son petit ami –le vrai, celui-là. Qui n’avait rien à voir avec le pauvre môme immature qu’il était. Qui avait bientôt dix-sept ans et qu’elle aimait réellement.
Reita Akimoto garda le silence, ce jour-là. Hôcha simplement la tête lorsqu’elle fixa son prix –exorbitant. Leur prochain rendez-vous, qui serait d’une tout autre nature, fut pour la semaine suivante.
Ce jour-là, il fit comme si de rien était. Elle se laissa faire avant de finir par y prendre part.
Ce jour-là, ils firent l’amour ensemble pour la première fois.
Ce jour-là, il lui déclara qu’il l’aimait et l’aimerait quoi qu’il puisse arriver, malgré cet autre dont il passerait outre.
Ce jour-là, il avait amené un couteau.
Au moment de lui passer, finalement, ce qu’il lui devait, il se jeta sur elle. Avec violence et brutalité.
Elle se débattit sans succès, et ne parvint qu’à le blesser au flanc droit. Avec désespoir et colère.
Lui la tua.
Ce jour-là, cela faisait un an, jour pour jour, qu’ils s’étaient avoué s’aimer.
Il enterra son cadavre avec soin. Sans aucune tendresse, sans aucun remord. Puisqu’il avait lui-même compris la situation sans issue dans laquelle il se trouvait. C’était sa famille, ou la vie de cette fille qui avait décrété en aimer un autre. Il avait tout simplement fait son choix.
Et tout de même, la satisfaction de sentir cet être abject mourir entre ses doigts n’était pas à négliger.
Depuis, Akimoto Reita, le collégien banal un peu brusque est devenu un lycéen violent. Lui qui n’approchait que peu les filles est désormais tout à fait charmeur –quelle que soit le sexe de sa proie, d’ailleurs. Il n’a toujours pas discuté avec ses parents de leur situation, et eux s’étonnent quelque peu de ce changement brutal chez leur fils.
Et puis… Maintenant, il y a la police.
C’est bel et bien pour cette raison que Reita Akimoto est en Corée.
LIENS :
Faisant partie du groupe des Playboys, il s’entend de manière générale très bien avec la plupart d’entre eux, dont le leader, dont il est notamment l’un des confident, et Joo Young Jae. A part cela il ne peut pas supporter les blagues insipides des Funnys. Du coup, il a bien du mal à les supporter et se contient dès qu’il en croise un dans les couloirs. Quant à leur adresser la parole, cela tient d’un effort monstrueux de patience dont il est incapable.
AVATAR :
Suzuki Ryo
A B O U T - M Y S E L FPRENOM:
Tomoko
PSEUDO:
Gold
SEXE:
F ( il paraît).
AGE:
16
FREQUENCE
DE
CONNECTION
SUR
7 JOURS:
5/7 pendant les vacances scolaires, 2/7 le reste du temps.
NOMBRES
DE LIGNES
EN
RP:
Plus de dix, ça c’est sûr.
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